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« La politique russe de recrutement de combattants et d’ouvrières en Afrique subsaharienne », c'est le sujet de la note publiée jeudi dernier par Thierry Vircoulon, chercheur associé à l'Institut français des relations internationales. Le premier Africain tué sur le front russo-ukrainien, en 2022, était un étudiant zambien intégré au groupe Wagner. Depuis, plusieurs milliers d'Africains, des hommes mais aussi des femmes, ont été recrutés par Moscou. Au moment de partir, la plupart pensent aller travailler dans le domaine civil et ignorent complètement ce qui les attend. Comment ces recrutements se déroulent-ils ? Quel sort est réservé à ces recrues africaines ? Et comment réagissent les gouvernements africains concernés ? Thierry Vircoulon est le Grand invité Afrique de ce jour. À lire aussiAu Kenya, des diplomates s’inquiètent de recrutements forcés pour l'armée russe À lire aussi«Les maisons russes en Afrique servent de centres de recrutement industriel et militaire» ►Pour en savoir plus sur l'étude |